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Danses effrénées, rythmes éperdus

Affichant un pianisme inventif et un style lumineux magnifiant la clarté des thèmes et la rigueur d’écriture du maître français, Guillaume Vincent colore avec d’infinies nuances cette cascade ininterrompue de séduction sonore, éclaboussant d’un charme ravageur son riche dialogue avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse en grande forme, mené à la cravache par le surprenant Marcelo Lehninger. Et c’est avec le même charme qu’il nous réjouit encore, en guise de bis, avec un Rêve d’Amour de Franz Liszt.

Jean-Félix Marquette

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